Laurence de Leersnyder
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Fable pour demain

3 anthotypes sur papier sensibilisé au jus de plantes,
400 X 200 CM / LAIS
texte de rachel carson – extrait du livre printemps silencieux

 

Cette installation a été réalisée à l’occasion de L’Art dans les Chapelles. Dans la continuité de mes recherches sur les végétaux, j’ai travaillé autour de la technique del’Anthotype : une impression au jus de plantes qui consiste à réaliser une empreinte par le blanchiment de la chlorophylle sous l’action des UV.
L’empreinte se révèle dans l’épaisseur du papier, dans la matière elle même, comme une apparition naturelle. L’impression ne pouvant pas se fixer, le texte fini par disparaître lors de son exposition.
Le texte choisi est extrait de Printemps silencieux de Rachel Carson, livre pionnier en matière d’écologie, paru en 1960 et qui dénonce, déjà, les dangers des pesticides.


L’ART DANS LES CHAPELLES, 30ÈME ÉDITION, PONTIVY, 2021

Photos : Aurélien Mole

Le fruit des arbres

PROJET LE FRUIT DES ARBRES

PHOTOMONTAGE GLYCINE DE CHINE, 2020

SCULPTURE : 400 X 35 CM

 

Photomontage du projet Le Fruit des arbres

Le projet consiste à sélectionner le fruit d’un arbre pour en réaliser une réplique re-dimensionnée à une échelle entre la sculpture et l’architecture. Monument à la simplicité complexe, à la prodigalité et à l’ingéniosité de la nature. Ici source d’inspiration directe dans cette forme naturelle, devenue statue et monument.

 

 

Le Jardin des simples

HERBIER DE BÉTON

STRUCTURE EN BOIS DE COFFRAGE

200 X 180 X 80 CM – PLAQUES DE DIMENSIONS VARIABLES

 

Cette installation est conçue en référence aux jardins des simples qui réunissaient dans un espace clos des plantes aux vertues médicinales.
Il s’agit avant tout d’une collection de végétaux recueillis dans mon environnement immédiat et que l’on considère généralement comme des «mauvaises herbes».

À l’instar d’un herbier, les plantes sont séchées puis prises dans une coulée de béton. Parfois les végétaux ont été rétirés, laissant une empreinte délicate, parfois ils sont ancrés à l’intérieur de la matière.

La stucture en bois massif rappelle les mobiliers de jardin et permet de réunir les plaques de béton sous la forme d’une collection.
Cette installation évoque ainsi la tradition des Fabriques de jardin, constructions à la fois oniriques et symboliques datant du milieu du XVIIIème siècle.

 

Co-production le CYCLOP et le CNPMAI
Exposition « Revenir pour voir l’après », CONSERVATOIRE NATIONAL DES PLANTES MÉDICINALES, AROMATIQUES, INDUSTRIELLES, Milly-la-forêt, 2021

Poly-Mer

BÂCHE POLYANE, STRUCTURE BOIS

Installation – Grande Halle des Tanneries

 

Poly-mer est une installation réalisée dans la Grande halle du Centre d’art contemporain Les Tanneries.
L’installation s’adosse aux dimensions monumentales de cette ancienne halle de production de cuirs et de peaux. Elle se déploie en modules, disposés selon le rythme des piliers en béton structurant l’espace.

Il s’agissait de dessiner un mouvement allant du sol, juste au-dessus des anciennes cuves, puis s’élevant progressivement, comme par élan, pour créer une impression d’aspiration vers le fond de la halle. Courant d’air, courant d’eau, pellicules à la fois souples et tendues… comme les ux qui animaient autrefois ce lieu.

 

LES TANNERIES, CENTRE D’ART CONTEMPORAIN, AMILLY, 2018

Exposition personnelle Poly-Mer

Ce qui continue

ÉLASTOMÈRE
SÉRIE DE 3 EMPREINTES : 350 X 120 CM ; 400 X 105 CM ; 450 X 110 CM

Acquisition du FRAC Normandie-Caen en 2020

 

Ce qui continue est une installation réalisée spéciquement pour le Centre d’art contemporain Les Tanneries dans le cadre de l’exposition Formes d’histoires.
Ces empreintes en élastomères qui se déroulent verticalement ont été prises sur les murs de la grande Halle du Centre d’art. Cette Halle est chargée de la mémoire du lieu et de son histoire. Successivement halle de production de cuirs et de peaux, puis friche, puis espace d’exposition.
Ses murs en ont fixés les témoignages et l’élastomère en a prélevé des bribes.

 

Co-production CAC LES TANNERIES et VILLE D’AMILLY, Loiret
Exposition Some of us KUNSTWERK CARLSHÜTTE, Büdeldorf, Allemagne, 2019

Photos : Salim Santa Lucia

Exposition Formes d’histoires, CAC LES TANNERIES, Amilly, 2018

 

 

Empreinte Végétale

LATEX, TIGE LAITON

DIMENSIONS VARIABLES

 

Empreintes de plantes réalisées en latex à partir d’une matrice-moule en terre crue.
Cette série de tirages en latex provient d’un herbier de végétaux recueillis dans le Bois de Vincennes puis moulé dans des plaques d’argile.

Formant de mous médaillons translucide le végétal apparaît comme un spectre usé.

 

GALERIE DU HAUT-PAVÉ, PARIS, 2018

Exposition personnelle Peaux, métamorphoses

Perspective de fuite à l’Anglaise

Gazon synthétique, liège, résine, Aluminium

7 ÉLÉMENTS : 250 × 120 CM CHAQUE – HAUTEUR VARIABLE

 

Perspective de fuite à l’Anglaise est une installation paysagère qui sculpte l’espace à travers des points de vue multiples invitant à la ânerie. Entre réalisme et arti cialité, elle joue sur l’étonnement du promeneur et son sen- timent d’étrangeté. Elle évoque simultanément les parterres ordonnés des jardins à la française et l’onirisme des jardins à l’anglaise.

 

production 40mcube, avec le mécénat de Rousseau Clôture
Parc du Thabor, Rennes, 2017

 

Cire perdue

cire de fonderie

110 × 40 x 50 CM

 

Cire Perdue est une oeuvre réalisée selon un principe de sculpture aléatoire qui consiste à verser de la cire, liquide, dans l’eau.
Ce processus témoigne de l’importance du rôle laissé au hasard et à la matière dans la détermination de la forme nale de mes sculptures.

La cire est modélée par son contact avec l’eau même si mon geste peut en modi er marginalement la forme par sa vitesse et son mouvement.
Cette recherche d’équilibre constitue l’un des enjeux de mon travail.

 

PRIX MAÏF POUR LA SCULPTURE
Projet finaliste, édition 2016, Paris

Empreinte de bitume

enrobé à froid, latex, 55 × 100 × 15 CM

 

Empreinte de bitume est réalisée à partir d’enrobé à froid, matériau utilisé pour le revétêment des routes, fixé dans du latex.
Empreinte factice d’un nid-de-poule ou relevé cartographique ? Sans rien représenter, cette forme convoque l’imaginaire.

Avant tout, elle exprime mon attachement pour le déplacement. De l’environnement industriel du bitume à la création plastique, de l’horizontalité du sol à la verticalité du mur, du relief de la matière à la platitude de la surface.

 

GDM GALERIE DE MULTIPLES, PARIS

Exposition A road is a road is a road, 2017

 

Concretum

BÉTON, TERRE, 500 × 150 × 80 CM

 

Concretum est une sculpture composée de trois monolithes en béton réalisés sur le campus de l’École HEC. Empreintes du site lui-même, ils ont été coulés puis relevés au même endroit.

L’oeuvre est une référence directe au mégalithique comme forme d’architecture primitive. Celle-ci m’a permis d’envisager le passage à une échelle architecturale, tout en poursuivant ma recherche autour d’un geste premier, élémentaire et ancestral.
À l’instar des Cromlechs, enceintes de pierres levées, les trois blocs sont disposés à l’intérieur d’un cercle (fictif) et dessinent un nouvel espace, un lieu à investir pour les usagers du site : étudiants, enseignants, visiteurs.

 

HEC PARIS, Jouy-en-josas, 2015

SCULPTURE PÉRENNE SUR LE CAMPUS DE L’ÉCOLE

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© Laurence de Leersnyder
Design Atelier trois